Nous nous portons partie civile en tant qu'association reconnue d'utilité publique. La première affaire concernait 22 victimes dans le milieu du football à Toulouse. Nous ne sommes pas habilités pour être désignés administrateurs ad hoc, mais peut-être y penserons-nous à l'avenir. Aujourd'hui, notre réseau important d'avocats nous permet d'orienter les victimes, si nous ne pouvons pas intervenir. Nous travaillons également avec d'autres associations, comme France Victimes. Enfin, nous sommes également en relation avec la police, la gendarmerie et la justice. Cela rassure les victimes.