Je partage cette analyse de mon collègue Philippe Vigier. Il soulève même un danger : pour écarter quelqu'un, il suffirait de glisser une information dans les médias. Vous avez certes saisi le déontologue mais ce que nous avons vu dans les médias ressemble davantage à une boule puante et à des accusations sans preuves. La justice a été saisie par Marc Ferracci et elle fera son œuvre, mais nous savons tous que cela pourra prendre un certain temps. J'aimerais attirer l'attention sur les dangers qui nous guettent si nous jouons à ce type de jeu. Je rejoins aussi Philippe Vigier lorsqu'il souligne les conséquences potentielles sur les relations familiales et les liens avec les personnes concernées. Je salue la décision de Marc Ferracci, qui est tout à son honneur et qui le grandit. Pendant plusieurs semaines, tu as animé un groupe de travail avec une vision large du sujet, et en conformité avec la volonté de coconstruction d'un texte qui répondrait aux attentes des Français, dans la logique du retour à l'emploi. Tu as préféré mettre en avant le fond du texte plutôt que la forme de l'agression et je t'en félicite. Bien évidemment, tu as tout mon soutien.