Vos propos m'interpellent. Il existe malgré tout un accompagnement, une espèce d'enveloppe d'amorçage, au début. Mais le président a raison d'évoquer une période blanche, qui correspond de fait à un retard. L'Etat pratique par appels à projets et manifestations d'intérêt, mais l'on ne peut pas toujours y répondre. On est ensuite obligés de s'endetter. Il y a là un cercle vicieux, systémique et spécieux.