Merci Madame la secrétaire d'État. Je retiens de vos propos la nécessité de l'humilité, car rien n'est jamais fini. Je retiens aussi votre volonté d'associer les parlementaires aux comités de suivi, dans l'objectif que nos soldats blessés n'aient plus, comme seule préoccupation, que de se soigner et de se reconstruire. Quant à nous, nous devons être à la hauteur de ce qu'ils ont donné à la France.