Je prends note des arguments du ministre délégué. En revanche, je ne souscris pas à l'argument du rapporteur : il ne s'agit pas de labelliser ce qui est positif, mais d'identifier ce qui ne l'est pas. Souvent, c'est là que le bât blesse. Il existe un label bio, mais il n'en existe aucun permettant d'identifier ce qui est mauvais pour notre santé !