Nous nous sommes engagés à créer des zones d'accélération qui protègent les terres agricoles et naturelles. Il faut donc cibler les zones artificialisées pour optimiser la production d'énergie décarbonée. Franchement, où est le problème ? Ces zones représentent 500 000 hectares : en mobilisant seulement 20 % de ce potentiel, on atteint quasiment l'objectif du mix énergétique, au bénéfice direct de nos industriels qui le consomment sur place. Je ne connais pas un interlocuteur qui considère que ce n'est pas un facteur de verdissement de l'économie. Les élus et les industriels concernés choisiront ce qu'ils veulent – éolien, photovoltaïque, géothermie –, dans un dialogue public-privé vertueux.