Il n'y a pas de pression lobbyiste : nous décrivons seulement une réalité économique. Investir dans des infrastructures portuaires, c'est très lourd. Et nous ne remettons pas en cause la domanialité publique. Tout ce que nous demandons, c'est d'allonger un peu le délai de vingt ans qui tend à s'imposer dans la pratique et qui paraît trop court pour faire face aux grandes évolutions actuelles. Les conteneurs, les grands gabarits, les canaux, la domotique… tout est en train d'évoluer. Il faut donner de la visibilité aux entreprises si nous voulons encourager de tels investissements. Monsieur le ministre délégué, je vous invite vraiment à approfondir cette question d'ici à la séance.