Je souscris aux propos du ministre délégué et du rapporteur général. Notre collègue Dominique Potier a pris l'exemple de Solvay, que je connais bien puisque j'habite à 3 kilomètres de l'usine. Je peux vous dire que ses dirigeants ne nous ont pas attendus pour faire de l'économie circulaire, heureusement !
Ce qui me gêne, dans cet article, c'est son caractère prescriptif : il est écrit que des projets territoriaux d'industrie circulaire « sont élaborés » et non qu'ils « peuvent l'être ». Par ailleurs, toutes les précisions qui sont données vont alourdir les procédures. Je crois qu'il faut faire confiance aux territoires et aux acteurs de terrain pour trouver des solutions. Ils ne nous ont pas attendus ; il faut maintenant que les collectivités les accompagnent.