Nous ne remettons pas en cause la nécessité d'organiser des réunions publiques, nous préconisons simplement un peu plus de souplesse et de liberté. Pourquoi la dernière réunion publique ne pourrait-elle pas se tenir un peu avant les quinze derniers jours, qui ne seront peut-être pas très opportuns en fonction des périodes de l'année ? Nos amendements disposent que « les modalités de tenue et de fréquence des réunions publiques sont laissées à l'appréciation du commissaire enquêteur ». J'espère que vous serez prêts à cette souplesse d'ici à la séance.