Dans les aéroports qui accueillaient les trois lignes en question, les créneaux ont été occupés principalement par Transavia et Ryanair, qui y font du stop and go. L'arrêt des trois lignes s'est ainsi traduit par un doublement des émissions de CO2. Comme quoi, il arrive que des décisions qui nous paraissent bonnes – et que nous avons d'ailleurs été nombreux à approuver – aient des effets pervers que nous n'avions pas mesurés. Je ne dis pas qu'il faut revenir sur la décision en question, mais il faut être conscient de ses conséquences.