Le débat a duré suffisamment longtemps et tout le monde a pu s'exprimer. Monsieur Schellenberger, le rapporteur général a le droit de dire ce qu'il veut, tout comme vous l'avez fait avant lui. Cela vous énerve peut-être qu'il soulève vos contradictions, mais il a le droit de le faire, sans que vous soyez obligé de réagir.