En effet, tous les métiers que j'ai cités, les accompagnantes d'enfants en situation de handicap, les auxiliaires de vie sociale, les caristes, les ouvriers de l'agroalimentaire, les dix-sept métiers « de deuxième ligne » identifiés dans un rapport que M. le ministre refuse de lire alors qu'il émane de ses services, tous ceux-là ne peuvent pas vivre de leur travail, et vous ne faites rien pour qu'ils le puissent !
Mais cet effort produit par le mouvement ouvrier depuis un siècle pour que les gens puissent vivre de leur travail va de pair avec un droit à la paresse, c'est-à-dire une libération du temps de travail. Le fait que les enfants n'aillent plus à l'usine, le congé maternité,…