Je rejoins le rapporteur général : on peut ne pas être d'accord mais il ne faut pas tomber dans la caricature.
J'ai visité une centaine d'usines en un an, soit deux par semaine. Chaque fois, je rencontre les organisations syndicales et les salariés. La santé des salariés est au cœur des processus, vous le savez bien. Je pourrais citer les panneaux d'affichage sur les accidents du travail ou parler de la fierté au sein des entreprises lorsqu'on constate qu'aucun accident du travail n'est à déplorer depuis trois, quatre ou cinq mois.