Pour autant, je ne mets pas en cause la compétence du rapporteur. Il ne m'a pas échappé que, comme proche collaborateur d'Emmanuel Macron, il avait conseillé celui-ci lors de sa première réforme de casse du droit du travail, ni que, comme conseiller de Muriel Pénicaud, il avait poursuivi cette mauvaise œuvre, en détricotant toutes les protections des salariés.