Nous sommes allés un peu vite… L'amendement de la rapporteure visait à préciser les choses s'agissant de la plateforme que nous avons créée en commission. Le problème, c'est que son adoption a fait tomber ceux qui devaient être défendus par la suite. J'en reviens aux difficultés qui se posent sur ces sujets : nous faisons face à des dispositifs qui se chevauchent, entre le marché du carbone, les certificats, les labels, etc. C'est pourquoi cet amendement de notre collègue François Jolivet tend à créer un certificat de séquestration carbone – c'est un étalon dont nous avons besoin.