Si on restaurait complètement les tourbières françaises, on éliminerait un quart des émissions de gaz à effet de serre. Ce que nous sommes en train de décider est donc très important pour la biodiversité, mais aura également un impact positif sur les émissions de carbone, car celui-ci sera davantage capté. C'est déjà possible : on peut, au cas par cas, déposer un dossier auprès de la direction générale de l'énergie et du climat (DGEC) et demander la prise en compte de l'impact positif de l'opération en matière de carbone. Nous souhaitions généraliser et simplifier la démarche.
Cependant, nous avons entendu vos objections ; comme la rapporteure, je donne un avis favorable aux amendements identiques.