Il vise à souligner la notion d'urgence : ce texte part du principe qu'il faut, de manière urgente, reconstruire ce qui a été détruit, tout en accordant un délai de trois mois au Gouvernement. Or, comme je l'indiquais précédemment, certains commerces ne pourront pas reprendre leur activité tant qu'ils n'auront pas été reconstruits. C'est le cas d'un bureau de tabac de ma circonscription, à Montpellier. Dans ce type de situation, la notion d'urgence doit être réellement prise en compte. Par ailleurs, un fonds de solidarité aiderait ces commerces à reprendre leur activité.