Je serai bref, car je souhaite que nous puissions adopter rapidement ce texte d'urgence. Je voudrais simplement indiquer que nous répondrons, article par article, aux questions relatives au texte. S'agissant en revanche des causes des violences urbaines, qui ont donné lieu à plusieurs interpellations, je répète que ce sujet mérite mieux qu'un débat de quelques heures au mois de juillet. Il devra être traité les yeux ouverts, à la rentrée, sous une seule condition : que personne n'entre dans l'hémicycle en disant « Cela fait des années que je le dis, et j'ai raison ».