Il se soutiendra lui-même et n'aura quasiment pas besoin d'explication tant il est de bon sens. Contrairement à ce que laisserait supposer son titre, ce projet de loi n'ébauche pas la moindre stratégie industrie verte : on nous demande une sorte de chèque en blanc et, à cet égard, j'aime l'expression « colin-maillard législatif » employée par mon collègue Tavel.