En effet, par différentes lois, vous avez dirigé l'essentiel des financements vers des solutions privées, notamment les centres de formation d'apprentis d'entreprise qui fleurissent partout. C'est en réalité la victoire d'une logique très court-termiste, selon laquelle les gens sont formés à l'utilisation d'un logiciel et non plus à des qualifications durables, susceptibles de mener à une reconversion. Nous vous proposons donc, par ce sous-amendement, de former les gens à des métiers qui seront utiles demain – notre collègue Jumel a souligné cette nécessité avant moi –, soit des soudeurs, des chaudronniers ou des électrotechniciens, notamment pour atteindre le « 100 % renouvelable » qui a été l'une de vos grandes intentions affichées lors de cette première année de mandat. Certains salariés pourraient aussi se reconvertir vers ces mêmes filières. Si nous voulons donner corps à cette stratégie nationale, voilà des questions, relatives à la formation, que nous devons nous poser.