Comme ceux d'autres collègues de la NUPES avant lui, il vise à compléter l'amendement de Mme Bonnivard – dont l'objectif est de réintégrer la stratégie nationale pour l'industrie verte dans le texte –, en y ajoutant la question de la formation. Il nous faut absolument déterminer les besoins en la matière et flécher les investissements publics vers certains types de métier et de technologie. Je rappelle que 71 % des métiers dits verts ont des difficultés de recrutement, et ce n'est pas un hasard : en réalité, vous avez abandonné l'industrie du pays depuis une trentaine d'années, mais vous avez aussi démantelé le cadre national de la formation.