Ce sous-amendement que nous avons déposé à l'initiative de Charles de Courson fait écho à la discussion commencée hier, dans laquelle nous contestions le mirage sémantique que représente l'expression « industrie verte ». Nous considérons que le vrai sujet réside dans la capacité à verdir l'ensemble du champ industriel. Par conséquent, nous souhaitons appuyer une définition minimale de cette stratégie en fixant un cadre qui reprenne tous les éléments de production qu'il convient de verdir, y compris la partie déchets.