Oui, il faut raisonner en Européens. Arrêtons les surtranspositions – c'est le souhait de la Première ministre – et cessons de croire que les Français sont seuls sur leur île : nous faisons partie d'un marché commun. Nous poussons au niveau européen pour instaurer des clauses miroirs, mais cela suppose qu'il y ait des règles européennes.