Nous ne pouvons laisser nos agriculteurs dans le désarroi. Même en Corrèze, les grossistes importent massivement de Pologne des pommes traitées avec des produits interdits en France ; elles sont servies à nos écoliers, à nos collégiens, à nos aînés en Ehpad, au prix d'un bilan carbone déficitaire. Nous marchons sur la tête !
Les pommes de la discorde sont légion. Nos vergers sont aussi victimes de nuisibles écologistes ravageurs !