Monsieur le député, le premier point à souligner, c'est que la possibilité de ce type de coopération montre bien qu'ici en France, nous sommes bons. Et on le doit à Airbus mais aussi à Dassault, même si certaines familles politiques ont trop souvent mis en doute jadis sa capacité à exporter le Rafale qui est aujourd'hui un succès. Les coopérations franco-allemandes en ce domaine sont aussi possibles parce que la France, en l'occurrence Dassault, est chef de file sur le projet du SCAF.