Évidemment, cette accélération n'entraînera aucun affaiblissement des études d'impact ou des consultations publiques ; au contraire, nous les renforçons.
Nous souhaitons aussi instaurer des projets d'intérêt national majeur, sans limiter la capacité des élus locaux à se prononcer sur leur pertinence – c'est l'objet de l'article 9. Dans un contexte budgétaire contraint, nous souhaitons également libérer le financement. Le ministre Bruno Le Maire l'a dit : près de 6 000 milliards d'euros sont disponibles dans l'épargne privée des ménages. Nous devons pouvoir en libérer 5 milliards pour accélérer la décarbonation.