Nous faisons le choix de la décarbonation de la croissance pour une deuxième raison : l'emploi. Nous voulons que la France crée des emplois qualifiés et bien rémunérés, c'est-à-dire des emplois industriels. L'industrie doit retrouver ses lettres de noblesse et l'ouvrier ses titres de gloire. Qu'ils travaillent dans l'électricité, la chimie, l'automobile, l'aéronautique, le luxe ou le médicament, les ouvriers et les ingénieurs doivent reprendre leur place dans notre économie, une place centrale qu'ils n'auraient jamais dû perdre.