Je sais bien que cela gêne certains membres de la NUPES – qu'au demeurant, on n'a pas vus en commission –, mais ce texte représente également l'assurance que les chômeurs continueront à être indemnisés, alors qu'ils ne le seraient pas si nous avions voté la motion de rejet préalable.
Monsieur le ministre, vous avez ouvert plusieurs chantiers ; chacun sait bien qu'il s'agit d'une étape, et que nous continuerons à avancer. Le premier concerne le paritarisme, dont nous, députés du groupe Démocrate, croyons qu'il a du sens : ce n'est pas parce qu'il a dysfonctionné par le passé qu'il faut le rejeter. Au contraire ! Remettons les partenaires sociaux au cœur du débat.