Moins problématique, la réintroduction du droit de préemption pour renaturation et recyclage foncier, dont nous sommes convenus qu'il s'articulait mal avec les droits existants, sera très peu opérante. Là où il est utile – en ville –, quelles collectivités préempteront pour dépolluer et renaturer vu l'équation financière qu'elles doivent résoudre ?
J'en viens au point noir de ce mauvais accord : les modifications apportées à l'article 4. Vous avez, monsieur le ministre, franchi votre propre ligne rouge en créant les conditions d'un dépassement de la trajectoire ZAN.