La robustesse d'une armée et son agilité se mesurent en déploiement sur le terrain, en France ou chez nos alliés, en heures de vol ou en jours de mer. J'ai en tête un peloton de Conti Cavalerie, déployé en Estonie dans le cadre de l'opération Lynx, qui ne pouvait être commandé à la vue par le chef de détachement car il voulait laisser les heures de potentiel moteur à ses équipages. Demain, cela se produira moins. C'est un gage d'efficacité et une manière de contribuer à l'attractivité du métier des armes car c'est de cela que rêvent ceux qui ont choisi de l'embrasser.