Lorsqu'ils se sont réunis devant le Conseil d'État pour demander une mise à l'abri, ces mineurs ont été accueillis par le Gouvernement, et le Président, à coups de brigade de répression de l'action violente motocycliste (Brav-M) et de violences policières. J'en ai été témoin – j'étais sur place avec d'autres – même si, d'après vous, la place d'un député n'est pas dans la rue.
Ces jeunes sont ensuite partis se réfugier dans un square. Comment croyez-vous qu'ils vont ensuite se nourrir et trouver où dormir ? Ils sont poussés vers la délinquance pour survivre face à votre sauvagerie !