Cette position, que nous défendions déjà en juin et en juillet, apparaît encore plus fondée aujourd'hui.
Puisque votre projet est brutal, la méthode sur laquelle il repose inadmissible, son contenu toujours flou mais déjà trop dangereux, puisque nous n'avons aucune confiance en vous, nous demandons le rejet de ce texte.