Je suis prêt à examiner toutes les options possibles pour aider ces territoires. Nous avons commencé à réfléchir sur les mécanismes assurantiels pour ceux d'entre eux qui sont les plus touchés par les événements climatiques. Si nous n'y prenons garde, dans quinze ou vingt ans, des millions de Français – notamment nos compatriotes ultramarins – ne pourront pas s'assurer, les assureurs considérant qu'ils n'assurent plus des risques mais des certitudes, compte tenu de l'évolution du climat. Je vous invite à participer aux travaux que j'ai lancés à ce propos.