Mayotte, c'est la France, comme les Mahorais l'ont voulu. Nous n'acceptons pas que qui que ce soit – notamment, les Comores – remette en cause leur volonté historique.
J'entends votre remarque, parfaitement légitime. Je vous confirme que nous avons déployé une aide très importante pour renforcer les systèmes éducatif et de santé des Comores, ce qui doit se traduire par le respect des engagements qui ont été pris, notamment en matière de maîtrise des flux migratoires.