Il vise à préciser qu'est qualifiée de bénéfice exceptionnel « la fraction du bénéfice […] réalisé au titre de l'exercice en cours qui excède la moyenne des bénéfices réalisés au titre des trois exercices précédents, à condition que le chiffre d'affaires enregistré au titre de l'exercice en cours soit supérieur d'un tiers à la moyenne constatée sur les cinq exercices précédents ». Sans cette seconde condition, les gains de productivité pourraient faire qu'une entreprise réalise des bénéfices qualifiés d'exceptionnels et doive donc en reverser une partie à ses salariés alors que son chiffre d'affaires aurait baissé, ce qui ne serait pas logique.