Une vidéo publiée sur l'ensemble des réseaux sociaux le dément de manière catégorique.
Cette affaire n'est malheureusement pas isolée ; pire, nous constatons une hausse des cas similaires, comme à Nice en septembre ou à Paris en octobre, et elle s'accélère cette année – un blessé grave le 16 mai en Seine-Saint-Denis, un autre le 3 juin dans le même département, un jeune tué le 14 juin à Angoulême.
Aussi, monsieur le ministre, j'aimerais vous poser une question : pourquoi, au sein de notre République, le refus d'obtempérer est-il passible d'une balle dans la poitrine ou dans la tête ?