Ne criez pas ! Ce n'est évidemment pas ce que vous souhaitez et j'espère que l'Assemblée nationale serait vent debout contre une telle décision. Car c'est cette même Assemblée nationale qui a déclaré en 1789 que « la libre communication des pensées et des opinions [se fait dans le strict respect de la loi et] est un des droits les plus précieux de l'homme ». Et d'ajouter, en 1881, dans une loi fondatrice sur la liberté de la presse, « l'imprimerie et la librairie sont libres ».
L'État est garant de cette liberté.