L'extension du champ des infractions pouvant donner lieu à une indemnisation par la Civi nous paraît positive. Pourront désormais en bénéficier les victimes de chantage, d'abus de faiblesse ou de violences familiales, en particulier de violences commises par l'ex-conjoint. Cela dit, nous préférions la version initiale, sans doute plus simple, qui prévoyait l'ouverture du dispositif à l'ensemble des victimes d'infractions ayant entraîné une incapacité totale de travail (ITT) de plus de huit jours. Néanmoins, l'article 5 convient, et nous l'envisageons favorablement.