Il nous semble que ces amendements sont de repli et que la formulation qu'ils proposent ne changerait pas grand-chose à l'existant. J'aimerais par ailleurs clarifier quelques points. Les propos du ministre pourraient en effet laisser penser que la justice restaurative place la victime face à son agresseur ou face à l'auteur de l'infraction. Or ce n'est pas ainsi que cela se passe.