Il y a donc un véritable problème, qui est aussi lié à l'absence de volonté gouvernementale puisque certaines mesures pourraient être prises – nous les précisons dans le rapport.
Monsieur le ministre, vous n'êtes pas suffisamment volontaire et, surtout, la Chancellerie ne pilote pas l'Agence publique pour l'immobilier de la justice (Apij). On cherche donc à éluder le problème. Une fois de plus, vous faites de la communication – l'article 1er en est une parfaite illustration – mais vous ne traitez pas la question de fond.