Il trouve son origine dans le rapport de la mission d'évaluation de la mise en œuvre du code de la justice pénale des mineurs, que j'ai menée avec Jean Terlier. Nous partageons tous deux le souhait que la justice restaurative – ou réparatrice, pour s'en tenir à la terminologie québécoise – soit davantage promue, s'agissant des mineurs.
Je profite de l'occasion pour préciser que le CJPM a vocation à s'appliquer à tous les mineurs, qu'ils soient étrangers ou non, de la même façon que nos lois sont celles de la République avant de n'être que pour les Français.