Étant donné que la loi pénale est d'interprétation stricte, votre avis défavorable me pousse à conclure que les appareils électroniques des journalistes sans carte de presse pourront être activés à distance. Cela pose un problème démocratique d'autant plus profond que la majorité des journalistes, en raison de la précarisation croissante du métier, ne disposent pas d'une carte de presse.