Dans le prolongement de nos débats d'hier, nous souhaitons mieux encadrer les techniques d'activation à distance d'appareils électroniques et proposons deux évolutions à ce titre. Nous souhaitons qu'il soit inscrit dans la loi, d'une part, que l'activation à distance doit être justifiée par la nature et la gravité des faits suspectés, d'autre part, que le juge des libertés doit veiller à l'usage proportionné de ces nouveaux moyens.