Dans ma ville de Marseille et mon département des Bouches-du-Rhône, les postes au sein des directions générales sont majoritairement occupés par des femmes, lesquelles sont donc mieux payées. Comptez-vous renvoyer une partie d'entre elles pour respecter la parité et faire de la place aux hommes ?
De tels quotas sont dangereux pour les femmes, en ce qu'ils risquent d'entraîner des refus d'embauche, des non-renouvellements de contrat, voire une hausse du chômage. Demanderez-vous à la fonction publique d'État, à la fonction publique territoriale et à la fonction publique hospitalière, où les femmes sont, selon l'Insee, majoritaires à respectivement 62 %, 59 % et 76 %, de licencier une partie de leurs effectifs ?