Ce faisant, les auteurs du texte se voilent la face devant les privilèges et les inégalités : quand l'inflation croît de 6 % par an, les revalorisations ne dépassent pas 4 % au mieux. Qui paiera la différence ? Les plus précaires, les retraités et les bénéficiaires des minima sociaux.
L'autre trou béant du texte est le maintien des privilèges…