Quelques heures plus tard, les privilèges étaient abolis.
Si le groupe Socialistes et apparentés a déposé une motion de rejet, c'est parce qu'il juge le projet de loi de finances rectificative insatisfaisant : il n'abolit pas les privilèges et passe les inégalités sous silence. Il abolit en revanche une forme d'indépendance de l'audiovisuel public, puisqu'il supprime la redevance, impôt certes imparfait et injuste, pour la remplacer par un impôt plus injuste encore, la TVA.