Si nous voulons lutter efficacement contre des maux tels que les trafics de stupéfiants, d'êtres humains, etc., peut-être faudrait-il recourir aux moyens du XXI
M. le ministre l'a dit : de nombreux crimes et délits, dont les faits de proxénétisme et les agressions sexuelles sur mineur, échapperaient à ces techniques si nous n'abaissions pas à cinq ans le seuil fixé. Pire encore : certains trafics de stupéfiants y échapperaient aussi ; je pense en particulier au délit d'incitation de mineurs à consommer des produits stupéfiants, qui est réprimé par une peine maximale de cinq ans.