L'amendement n° 512 vise à limiter à cinq jours au lieu de quinze la durée de l'incarcération provisoire nécessaire pour évaluer la faisabilité d'une assignation à résidence sous surveillance électronique, laquelle serait envisagée par le juge des libertés et de la détention pour éviter une détention.
Quant à l'amendement n° 515 , il est de repli, puisqu'il vise à ramener la durée de l'incarcération provisoire à dix jours.