J'ai lu, Bruno Le Maire, que vous me donniez raison – avec l'élégance qui vous caractérise – sur les missions relatives à la fiscalité des entreprises que je veux engager. Je rassure d'emblée mes collègues de la majorité qui ont laissé filtrer l'information : ce ne sera pas un os à ronger mais la base sur laquelle, j'en suis sûr, vous finirez par devoir aussi me donner raison, monsieur le ministre.