Monsieur le garde des sceaux, ces derniers jours, partout en France, d'importantes émeutes ont suivi la mort de Nahel. Je veux bien sûr ici redire mon soutien à sa famille. Une enquête de l'Inspection générale de la police nationale (IGPN) a été ouverte et la justice est saisie. Ce drame, aussi grave soit-il, ne peut servir de prétexte à l'incendie que nous avons constaté. Je salue, à cet égard, l'attitude responsable de la majorité des élus qui ont appelé au calme, à l'exception notable d'un quarteron, que dis-je d'un groupuscule d'élus qui s'est durablement discrédité : je parle bien sûr de La France insoumise.